Gestion des actifs informatiques

Cesser de subir des dépenses inutiles

Toutes les organisations rachètent du matériel et des logiciels faute de pouvoir réutiliser ce qui ne sert plus ou de retrouver ce qui a disparu. Toutes provisionnent des services cloud puis oublient de les arrêter lorsqu’ils deviennent inutiles. Toutes paient sous la contrainte des sommes mirobolantes après un audit pour régulariser leurs licences. Toutes peinent à réconcilier leurs immobilisations et leurs actifs informatiques pour respecter les réglementations sur la traçabilité des dépenses. Toutes oublient de résilier la maintenance annuelle de produits qui ont disparu de leur système d’information.

Grâce à une gestion combinée des actifs logiciels, matériels et cloud

Toute les organisations subissent ces avanies dont la liste est en réalité bien plus longue. Enfin, presque toutes, car certaines ont mis en place la gestion des actifs informatiques (IT Asset Management, ITAM). Elle couvre les actifs logiciels (software asset management, SAM), matériels (hardware asset management, HAM) et cloud (FinOps) et joue la carte de la synergie. Autrement, comment par exemple garantir la conformité logicielle sans maîtriser les machines sur lesquelles les licences sont consommées ?

Intégrée au management des services IT et aux autres entités de l’entreprise

Dès les années 2000, nous considérions déjà que la gestion de tous les types d’actifs informatiques devait être intégrée, se combiner avec le management des services IT et étendre ses ramifications bien au-delà de la DSI. On nous a longtemps rit au nez en arguant que tout se résumait à des inventaires.

Qui a inspiré les deux référentiels phares de l’ITAM

L’histoire nous a finalement donné raison : ITIL® 4 comporte une nouvelle pratique, celle de gestion des actifs informatiques, qui s’inscrit exactement dans cette vision. Idem concernant le guide de l’ISO pour la mise en œuvre de la gestion des actifs informatiques (ISO 19770-10). Et ce n’est pas un hasard car Stéphane JORET, président fondateur de Liscience, est l’auteur de la pratique ITAM d’ITIL 4 et coauteur d’ISO 19770-10.

Avec une implémentation agile et orientée produit

Avec l’avènement de l’agilité à l’échelle, nous avons apporté à ces référentiels une méthode d’implémentation modulaire et itérative qui fait le bonheur de nos clients. Nous y avons également introduit un concept facilement actionnable dans les organisations articulées autour des produits : un actif IT est une instance d’un produit, chacun ayant son cycle de vie spécifique mais connexe. Tout cela permet de mettre en œuvre l’ITAM d’une façon perçue comme évidente par les équipes concernées.

Dans une logique de développement durable

A l’heure du changement climatique, nous affirmons que l’ITAM est un puissant levier pour réduire l’empreinte environnementale des systèmes d’information et permettre un impact social vertueux. Il ne s’agit pas d’un dogme mais du constat issu des solutions concrètes que nous apportons à nos clients.

Quelques exemples de bénéfices

Selon Gartner

• Les dépenses en logiciel et en matériel représentent 20% du budget d’une DSI
• Gérer les actifs informatiques permet de réduire ces coûts de 30% la première année et d’au moins 5% chacune des cinq années suivantes

Selon IDC

• La complexité des licences coûte 25% du budget logiciel
• Les clients dépensent des millions de dollars pour régulariser les non-conformités découvertes par les éditeurs de logiciels lors d’audits

L’implémentation de la gestion des actifs informatiques est donc généralement rentable en moins d’un an. Voici une petite liste non exhaustive des bienfaits qui sont à votre portée.

Réduire les dépenses pour les actifs IT et leur maintenance

• Recycler ou revendre ce qui sert peu ou pas du tout
• Restituer les biens à l’échéance des contrats de leasing
• Optimiser la consommation
• Contrôler les coûts de sous-traitance

Réduire le stress des équipes et du management

• Eviter les audits des éditeurs de logiciels et leur issue fâcheuse
• Fluidifier et sécuriser les achats
• Garantir que les actifs soient couverts par une maintenance appropriée
• Apaiser les relations avec les utilisateurs grâce à des listes de produits homologués ou interdits
• Canaliser l’informatique cachée (shadow IT)

Maîtriser les risques et la conformité

• En finir avec les usages de logiciels proscrits par les contrats de licence
• Détecter et gérer les disparitions d’actifs
• Sécuriser les données stockées sur les machines conformément à la politique sécurité
• Respecter les réglementations, notamment financières et environnementales